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Nathalie
Cycliste longue distance et Entrepreneuse
« Je n’ai pas toujours eu l’esprit de compétition. »
J’ai essayé pas mal de sports dans ma jeunesse, la plupart sans conviction : j’étais trop timide pour les sports collectifs ou « artistiques ». Le vélo, au contraire, me donnait la possibilité de progresser toute seule dans mon coin, sans avoir à craindre le regard des autres ; quand mon père n’a plus réussi à me suivre, il m’a inscrite en club et j’ai commencé à gagner – sans trop de concurrence il faut dire !
Aujourd’hui encore, je cours surtout contre moi-même. Je me donne des objectifs et je fais tout pour les atteindre. Chez les femmes, je sais que je peux jouer la gagne ; au général, je vise le top 10.
« Ma passion pour l’ultracyclisme est née en Nouvelle-Zélande. »
Je n’oublierai jamais ce voyage : 3-4 mois en bikepacking à parcourir le pays d’un bout à l’autre, suivant une trace établie par les Kennett Brothers, vous connaissez ? Le Tour Aotearoa est un périple de 3 000 km qu’emprunte en février la course du même nom : le même itinéraire que nous, mais couvert en 2 semaines. Comment était-ce possible ? J’ai eu envie d’en savoir plus !
De retour au pays, je me suis inscrite à la Race Across France – 2 600 km en 8 jours, 1ère femme sans assistance. L’année suivante je récidive en Corse – 1ère femme et 4ème au général. Un premier sponsor me contacte. J’enchaîne les courses en Europe (1 000-1 500 km) et je quitte mon emploi pour vivre du vélo : je deviens entrepreneuse à temps plein, ambassadrice de marques et marraine d’événements.
« Je ne suis pas pro pour rester libre et faire les courses que j’aime. »
Ce que j’aime par-dessus tout dans mon sport, c’est ce goût prononcé d’aventure. J’ai tendance à privilégier les courses en autonomie (n’est-ce pas un peu bête d’être suivi par une voiture quand on fait un sport écolo ?), où je m’occupe de tout moi-même plusieurs jours de suite dans de beaux paysages. J’aime prendre le temps de visiter la région après l’événement, voire de rentrer chez moi à vélo, sans contrainte de temps ni pression.
« Terminer dans les temps est déjà un gros défi. »
En ultra, il faut certes un bon physique, mais le plus dur, c’est le mental, car il y a juste tout à gérer : le sommeil (très peu dormir pour être compétitif), la nutrition (ça peut être rude à l’étranger), le parcours (à définir soi-même ou non), la douleur, parfois la maladie… et le matériel bien sûr !
Je me rappellerai toujours la fois où ma batterie externe m’a lâchée… Se retrouver à quelques kilomètres de l’arrivée à tourner en rond, cherchant la ligne… Ça fait partie du jeu ! (Je ne m’aventure jamais plus sans GPS de rechange, jamais.)
« Les gens s’imaginent que je fais 200 km tous les jours… Pas du tout ! »
Non, ce qui compte, comme souvent, c’est la régularité. Je ne roule pas toujours longtemps, mais 5-6 fois par semaine à coup sûr. 25 000 km par an, pour beaucoup en montagne – mais pas que ! C’est d’ailleurs à la mer, sur le salon Roc d’Azur, que j’ai rencontré Francisco. Lui aussi essaie de vivre de sa passion, comme moi il mène sa barque dans le milieu foisonnant du cyclisme.
Il a bien raison : en plus de profiter à la nature, recycler les vélos au lieu d’en produire de nouveaux rend le marché plus accessible au grand public. J’ai acheté tous mes vélos neufs, seulement parce que j’avais peur d'avoir une mauvaise surprise avec un vélo d'occasion. Chez The Cyclist House au moins, tu sais ce que tu achètes : des vélos qui ont été vérifiés. Ça change beaucoup de choses.
Marie
Chef d'entreprise
« J’ai la chance d’habiter "au cœur des géants". »
Je ne m’en cache pas : passionnée de vélo, à la maison j’en ai carrément 3 ! Un VTC équipé de sacoches pour mes déplacements et les cyclovoyages, un vélo de route et un VTT pour le sport. Plus écologique que la voiture, je prends le vélo dès que possible, faisant ainsi d’une pierre deux coups : je soigne à la fois ma condition physique et mon bilan carbone.
Ado déjà, j’utilise le vélo au quotidien, pour aller au badminton et à l’équitation. La pratique du vélo de route est venue plus tardivement. Entre 2013 et 2016, je fais partie d’une équipe de cyclisme féminin à Doha, au Qatar. Je fais mes premières armes sur les bandes d’arrêt d’urgence des autoroutes (heureusement peu fréquentées à l’heure de la prière !), j’apprends à rouler en peloton, et à chuter aussi… Plus de peur que de mal ! Entre 2016 et 2019, je fais partie du club de vélo de Pointe-Noire, au Congo.
Depuis 2020, je roule seule, avec mon mari ou des amis, dans les Hautes-Alpes où nous habitons. La région, parfois dite « au cœur des géants » (cols de l’Izoard, du Galibier, du Granon, etc.), est magnifique, propice à de nombreuses activités de plein air. J’envisage aujourd’hui de rejoindre le club de vélo de Briançon – rouler en peloton me manque beaucoup trop !
« Il y a encore peu de femmes dans le milieu du cyclisme. »
Je l’ai constaté de nouveau sur l’Étape du Tour 2022 : 6 % de femmes dans un peloton de 16 000 inscrits, ça ne fait pas beaucoup ! Au-delà du résultat (29e femme sur 400), j’ai pris plaisir à participer à une épreuve sportive de longue durée, et à la terminer « proprement » : quel bonheur d’être suffisamment entraînée pour ne pas subir la course ! J’aime ce qui relève de la gestion et de la tactique, prendre l’aspiration dans les faux plats, gérer son hydratation et son alimentation, surveiller sa fréquence cardiaque pour produire le bon effort, ni en-deçà, ni au-delà… Quant à la pasta party d’avant-course, en famille ou entre amis… toujours un grand moment !
« Le vélo me permet de me recentrer sur l’essentiel. »
Chef d’entreprise à mon compte, mère de 3 enfants et grande sportive, j’ai une vie bien remplie, où il n’est pas toujours facile de dégager du temps pour soi. C’est lors de longues séances de sport, et en particulier de vélo, que j’arrive à « faire le vide », à quitter pour un temps les (pré)occupations quotidiennes ; dans ma bulle, je me concentre sur l’essentiel – privé, familial ou professionnel.
« The Cyclist House parle à l’écolo que je suis. »
Particulièrement sensible aux questions environnementales, j’adhère à 200 % aux principes de développement durable et d’économie circulaire sur lesquels repose The Cyclist House. Mais ce n’est pas tout : je me retrouve également dans d’autres aspects de cette belle initiative, en particulier dans la qualité des produits. Quand je fais du sport, j’aime utiliser du très bon matériel ; les vélos proposés par TCH le sont avec des critères précis et des photos fidèles, permettant de choisir sa monture sans surprise. Et puis pas besoin d’être compétent pour s’assurer que le vélo acheté est en bon état de fonctionnement ! C’est quand même appréciable.
Convaincus de la nécessité d’une telle démarche, mon mari et moi avons investi pour la soutenir.
Clément
ingénieur et écrivain
« Un vélo, c’est avant tout un compagnon de route. Un copain d’évasion. »
J’ai découvert le vélo assez tard, un peu par hasard. Mon sport, longtemps, a été le rugby ! Sur le terrain ni relais ni coups de bordure, mais plutôt balles à l’aile et plaquages cathédrale… Ainsi gentiment « bizutés », mes cousins cyclistes ne m’ont pas raté : le lendemain, je réalisais en leur compagnie ma première (vraie) sortie à vélo – l’ascension du col de l’Iseran !
Bizarrement, je n’ai pas cessé de rouler depuis. Mieux, le vélo est devenu mon sport ! En Haute-Maurienne ou en Suisse normande, dans les monts du Lyonnais ou dans la plaine de Bresse, j’aime le cyclisme pour les sensations qu’il procure, la fraîcheur sur la peau et la fatigue dans les jambes.
« Le vélo est un jeu d’enfant qui dure longtemps. »
Cette phrase n’est pas de moi, mais du journaliste Éric Fottorino. Je la trouve très belle. Faire du vélo, c’est toujours un peu pour moi l’occasion de retomber en enfance, de regoûter au sentiment de liberté éprouvé pour la première fois dans sa jeunesse. Je suis d’un naturel créatif, et le vélo je crois, plus qu’aucune autre activité, m’inspire et nourrit mon imagination.
L’un de mes passe-temps favoris, été comme hiver, est de rouler au hasard des routes – ou de monter à bord d’un train avec ma monture, pour en descendre plus loin, en quête de nouvelles aventures !
« Toi qui aimes le vélo, The Cyclist House devrait te plaire. »
Et comment ! Lorsque mon ami Francisco m’a parlé pour la première fois de cette jeune entreprise, mon sang n’a fait qu’un tour… Il faut dire que le concept est séduisant ! On trouve chez TCH des vélos d’occasion, mais révisés, certifiés de qualité. Une sorte de Leboncoin pour cyclistes, garanti sans mauvaises surprises ! Autre atout de taille à mes yeux : les retours sont permis. Quand on connaît l’importance d’essayer sa machine avant de l’adopter…
Aujourd’hui, je partage ma passion du vélo sur le blog du site.
Christophe
Senior manager
« J’aime me lancer des défis. »
Ma pratique du vélo ne date pas d’hier. En primaire, c'est au guidon de mon petit vélo de route que je prends le large avec les copains ! Les tours chronométrés autour de la maison de campagne sont l’occasion de se mesurer les uns aux autres. Au collège, je ne me déplace (presque) qu’à vélo.
Au fil du temps, le vélo devient un compagnon de voyage plus lointain, plus extrême. J’entreprends avec mon épouse (bientôt rejointe par notre première fille… remorquée !) de longs périples à travers la France, la Roumanie, le Vietnam… Quel moyen fantastique de voir du pays ! À vélo on va plus loin, plus vite, et on récupère aussi plus facilement qu’à pied.
« Je suis un compétiteur né. »
À l’âge de 30 ans, une blessure au genou me force à arrêter la course à pied. C’est un mal pour un bien : sans véritable expérience, je m’inscris à une cyclosportive en Normandie. Bien classé, je rejoins un club de cyclisme et commence la compétition au niveau régional. Une course de vélo, c’est hyper tactique, hyper ludique aussi. J’aime le mélange d’effort et de jeu, de stratégie.
« Quand on est bien entraîné, on peut réaliser des exploits à vélo. »
Mon vélo me suit dans mes expatriations successives, d’abord au Qatar, puis au Congo. En 2018, je participe de nouveau à l’Étape du Tour, pour laquelle je me prépare de façon semi-professionnelle, 12-15h par semaine pendant 6 mois. L’année suivante, ma femme et moi tombons amoureux de la région de Briançon, dans laquelle nous nous sommes installés depuis. L’endroit est simplement mythique ! Des gens du monde entier viennent chaque année faire l’ascension des grands cols. Izoard, Granon, Galibier… Je parcours à cette époque environ 10 000 km par an.
« Je veux vivre des moments dont je me souviendrai dans 20 ans. »
Des journées à ce point inoubliables, j’en ai passé quelques-unes à vélo. Je me rappelle une sortie de 220 km, de Beaufort (73) à Gap (05), empruntant 5 cols, dont ceux de la Croix de Fer et de la Madeleine… La tarte aux myrtilles au sommet du col d’Ornon avait bon goût !
Aujourd’hui, ma pratique est moins intensive, plus familiale que par le passé, mais non moins riche en souvenirs ! Le tour du plateau d’Emparis en VTT avec ma fille ou celui du parc des Écrins par la route sont des épisodes que je n’oublierai pas.
« J’aime le beau matos ! C’est mon côté ingénieur. »
Avant que n’émergent des initiatives telles que The Cyclist House, on achetait une machine sur Leboncoin ou Troc Vélo. Au moment de dépenser 4-5 000 €, on aurait été content d’avoir un « stamp » ! Je pense notamment au cadre, dont l’intégrité n’était pas plus garantie que celle des autres composants (une simple fissure, pourtant, peut avoir des conséquences désastreuses). Autant de problèmes que pallie aujourd’hui TCH en proposant de très beaux vélos, certes déjà utilisés, mais estampillés « prêt à rouler » après inspection approfondie.
J’ai investi dans l’entreprise parce que je trouve l’idée intelligente. Le concept existait pour la voiture, pourquoi pas pour le vélo ? Les prix ayant beaucoup augmenté ces derniers temps, je suis convaincu que le marché de l’occasion a de beaux jours devant lui.
Enfin, je connais Francisco pour son énergie, son sérieux, sa loyauté. J’ai confiance en lui et ses équipes.